Elsässer Kurier du 27 septembre 1920
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Zu einer Messerstecherei kam es in der Nacht von Sonntag auf Montag zwischen den beiden Arbeitern Theodore Bouillon und Aloise Koch. Die Ursache des Streites scheint in Zwistigkeiten zwischen den beiden Familien und in der Wirkung des "Neuen" zu liegen. Aloise Koch trug eine klaffende, etwa zwei Finger breite und 10 Zentimeter lange Wunde am linken Oberarm davon. Die Verletzung ist nicht gefährlicher Natur. Koch ist Vater von 5 Kindern. Den Anlass zum Streit gab Theodore Bouillon. Er passte Koch beim Nachhausegehen auf und ging sofort tätlich gegen ihn vor, nachdem er zuvor das Messer in seiner Wohnung geholt hatte. Bouillon ist geflüchtet. Man vermutet, dass er über den Rhein gegangen ist, wo sich zur Zeit seine Frau befindet. |
Dans la nuit de dimanche à lundi a eu lieu un échange de coups de couteaux entre les deux ouvriers Théodore Bouillon et Aloyse Koch. La cause du différend semble trouver son origine dans des brouilles entre les deux familles mais aussi dans les effets du vin nouveau. Aloyse Koch s’en tira avec une plaie ouverte large de deux doigts longue de 10 centimètres de long au bras gauche. La blessure ne met pas ses jours en danger. Koch est le père de cinq enfants. Theodore Bouillon est à l’origine de la dispute. Il a guetté Koch alors qu’il rentrait chez lui, et l’a immédiatement agressé avec un couteau qu’il avait auparavant récupéré à son domicile. Bouillon a pris la fuite. On suppose qu’il est passé de l’autre côté du Rhin où se trouve actuellement son épouse. |
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